26 juin 2007
Deux heures du mat' , mémoire déphasée, souvenirs vacillants, en manque de lui
Il dessine des cercles et créé des champs d'actions épars. Sous les spasmes de son corps le temps s'éfile. Les gouttes d'eau perlent son visage et se lovent au creux de son sourire. Ses cheveux s'alanguissent sur mes lèvres et ses angoisses se tassent. Les mots s'effacent, annulent sa peur. Elle glisse, s'éclipse sous l'évidence. La fumée voile son silence. Ses yeux brillent. Que demander de plus ...
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